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Santibate et Libertimenduak Carnaval traditionnel du Pays Basque

Santibate et Libertimenduak  

Carnaval traditionnel du Pays Basque

Santibate et  Libertimenduak Carnaval traditionnel du Pays Basque


Carnaval traditionnel du Pays Basque. Santibate et Libertimendua sont des célébrations, en deux temps, de la période de carnaval, pratiquées dans la province de Basse-Navarre et dans quelques villages du Labourd.

En 2019, les fêtes carnavalesques connues aujourd’hui sous le nom de Santibate et Libertimendua ont lieu en Basse-Navarre (villes de Saint-Palais et Saint-Jean-Pied-de-Port, village d’Irissarry,

vallées d’Hergarai et des Aldudes, en Pyrénées-Atlantiques) et dans trois villages limitrophes du

Labourd (Mendionde, Macaye et Louhossoa, en Pyrénées-Atlantiques), regroupés pour l’occasion.

En Nouvelle-Aquitaine, la Basse-Navarre (environ 30 000 habitants), le Labourd (environ 250 000
habitants) et la Soule (environ 15 000 habitants) sont les trois provinces historiques du Pays
Basque nord, administrativement regroupées depuis janvier 2017 au sein de la communauté
d’agglomération Pays basque, Euskal Hirigune Elkargoa (308 323 habitants)

Santibate 

La fête de Santibate se rattache à la période de Carnaval, et concerne plus spécialement la Basse-Navarre, sachant que cette manifestation peut prendre des dénominations différentes (Karatotxak par exemple).

célébrations de Santibate. À Saint-Jean-Pied-Port et Irissarry le 3, le 11 à Saint-Palais et le 25 à Saint-Étienne-de-Baigorry, 

Santibate est un cortège nocturne de personnages masqués ou maquillés aux aspects plus ou moins dépenaillés, dits zirtzil, dansant et chantant le long de leur parcours en attendant l’arrivée du printemps.


Libertimenduak

Après les cortèges nocturnes de Santibate, viennent les célébrations diurnes de Libertimendua. Danses, costumes et surtout théâtre fêteront l'arrivée du printemps à Mendionde le 12 février, à Saint-Jean-Pied-de-Port le 19, à Saint-Palais le 26 puis à Baigorri et Hasparren les 5 et 11 mars.

Libertimendua est à Santibate ce que le jour est à la nuit. Ce carnaval de printemps, et non d’hiver, raconte l’opposition entre le monde lunaire (le cycle de la nature, les choses cachées et nocturnes) et le monde solaire (le pouvoir, les choses officielles et structurées) 






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